Au travail, le paradoxe de la flexibilité
On veut de la flexibilité au travail, mais elle peut nous faire très mal. C’est peu ou prou ce que Franciska Krings, professeure ordinaire en comportement organisationnel à HEC Lausanne, a rappelé cette semaine à l’occasion du dixième Congrès HR sections romandes. Un rendez-vous bien connu du secteur, qui se tenait cette semaine à l'Université de Lausanne. La professeure est revenue pour Le Temps sur ce constat que l’on préfère souvent ignorer.
Pourquoi on en parle. La flexibilité de temps (horaires libres) et de lieu (télétravail) est devenue une sorte de graal depuis la crise du coronavirus. De quoi oublier des études qui montrent par exemple que si ceux qui peuvent télétravailler sont globalement plus satisfaits au travail, ils ont aussi davantage de peine à concilier vie privée et vie professionnelle.
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