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Chaque matin, un résumé de l'actualité envoyé d’une ville différente du monde.
S'abonnerSwisstransplant renonce au registre national du don d’organes. Franz Immer, directeur de la fondation, revient sur ce coup dur pour le don en Suisse.
Face au risque pour la sécurité des données, Swisstransplant jette l’éponge. Les hôpitaux n'auront plus de registre de donneurs d'organes décédés sur lequel s'appuyer, jusqu'en 2024 au moins.
Un suivi interactif des grands indicateurs du dérèglement climatique et de ses solutions.
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S'abonnerLors de sa session spéciale du 3 au 5 mai, le Conseil national traite d'une proposition visant à instaurer le consentement présumé pour le don d’organes en Suisse. Pour Franz Immer, directeur de Swisstransplant, bien que le consentement présumé à lui seul ne garantisse pas une augmentation du nombre de donneurs, le modèle Opt-out («qui ne dit mot, consent») recèle un potentiel indéniable.
Il y a des patients qui marquent à jamais ceux qui les soignent. Dans le cas de Raphael Meier, chirurgien en transplantation, ce patient est une patiente. Une Genevoise qui a développé un cancer très agressif, après une transplantation, et qui a déjoué la mort de justesse. Son singulier parcours fait la couverture du prestigieux magazine Transplantation. Raphael Meier, premier auteur de l'étude, a pris soin de la patiente durant son internat en chirurgie aux HUG. Parti se spécialiser aux Etats-Unis, il raconte cette étonnante histoire à Heidi.news.