le Point du jour - édition abonnés
Chaque matin, un résumé de l'actualité envoyé d’une ville différente du monde.
S'abonnerA l’heure où la demande de soins par LSD, MDMA, kétamine ou encore psilocybine explose, deux associations créées simultanément en Suisse romande rivalisent pour être reconnues par les services de santé.
Chaque matin, un résumé de l'actualité envoyé d’une ville différente du monde.
S'abonnerJe vous parle d’un sujet que je ne connais pas. «Comme d’habitude!», diront ceux qui aiment critiquer les journalistes. Peut-être, mais là j’avoue n’avoir encore jamais consommé de LSD ou de champignons hallucinogènes. L’usage de ces substances, longtemps illégales, a désormais gagné les hôpitaux suisses. Lesquels ferment la porte aux «esprits de la forêt» qui les recommandent pourtant depuis des siècles.
Quand les esprits de la forêt rencontrent les grands esprits de la médecine et des hôpitaux suisses, des tensions surgissent. Quelle place la dimension spirituelle doit-elle occuper dans les protocoles de ces thérapies psychédéliques émergentes? Dans quel décor administrer des substances longtemps illégales?
Daniele Zullino est chef du Service d’addictologie du département de santé mentale et Psychiatrie des HUG depuis 2005. Il défend l'approche de son institution: les patients seraient rassurés de pouvoir entamer cette thérapie très particulière dans une chambre d'hôpital très sobre.
Un groupe de soutien destiné aux personnes ayant expérimenté ou souhaitant tester les thérapies assistées par psychédélique (MDMA, LSD, psilocybine, kétamine) vient d’être mise en place aux HUG. En parallèle, une association de patients vient de voir le jour à Genève. Un engouement auquel les praticiens peinent à répondre.
Dans le cadre de notre série «Folles enfances», distinguée par le prix Suva des médias 2022, le pédopsychiatre Kurt Albermann défend une meilleure prise en charge des enfants de parents avec des troubles psychiques.
Lorène Mesot, journaliste santé à Heidi.news, est distinguée pour son enquête et sa série de témoignages «Folles enfances», publiés à l’été 2022 et à retrouver en accès libre sur notre site.
(4/5) L’enfance à l’ombre de la maladie psychique. Les enfants de personnes atteintes de trouble psychique sont nombreux, mais rarement pris en considération. Cinq adultes, âgés de 23 à 45 ans, sortent du silence pour raconter une maladie qui n’est pas la leur, mais qui a façonné leur quotidien. Des histoires magnifiques de résilience, mais qui signent aussi, parfois, d’inquiétants échecs de société. Après avoir connu l’enfer, Agathe*, 45 ans, milite désormais pour une meilleure reconnaissance du vécu de ces enfants.
(3/5) L’enfance à l’ombre de la maladie psychique. Les enfants de personnes atteintes de trouble psychique sont nombreux, mais rarement pris en considération. Cinq adultes, âgés de 23 à 45 ans, sortent du silence pour raconter une maladie qui n’est pas la leur, mais qui a façonné leur quotidien. Des histoires magnifiques de résilience, mais qui signent aussi, parfois, d’inquiétants échecs de société. Sarah, 35 ans, a dû apprendre à gérer sa mère qui refuse de se faire soigner.
(2/5) L’enfance à l’ombre de la maladie psychique. Les enfants de personnes atteintes de trouble psychique sont nombreux, mais encore trop rarement pris en considération. Cinq adultes, âgés de 23 à 45 ans, sortent du silence pour raconter une maladie qui n’est pas la leur, mais qui a façonné leur quotidien. Des histoires magnifiques de résilience, mais qui signent aussi, parfois, d’inquiétants échecs de société. Emilie*, 39 ans, a appris à composer avec deux parents touchés par des troubles psychiques.
Un suivi interactif des grands indicateurs du dérèglement climatique et de ses solutions.
(1/5) L’enfance à l’ombre du trouble psychique. Les enfants de personnes atteintes de trouble psychique sont nombreux, mais encore trop rarement pris en considération. Cinq adultes, âgés de 23 à 45 ans, sortent du silence pour raconter une maladie qui n’est pas la leur, mais qui a façonné leur quotidien. Des histoires magnifiques de résilience, mais qui signent aussi, parfois, d’inquiétants échecs de société. Sasha*, 23 ans, se remet lentement d’une période cauchemardesque.
Dans leur carrière, les médecins côtoient des milliers de patients. Quelques-uns s'inscrivent au fer rouge dans leur mémoire, parce qu'ils les ont fait progresser, douter, leur ont rappelé la beauté du métier ou ses affres. Cet été, Heidi.news a demandé à des praticiens de nous parler d'un patient inoubliable. Au tour du Dr Stéphane Saillant, médecin-chef au Centre neuchâtelois de psychiatrie (CNP) et vice-président du Groupe romand prévention suicide (GRPS), pour ce 5e épisode.