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Chaque matin, un résumé de l'actualité envoyé d’une ville différente du monde.
S'abonnerLa sanction est un record dans le domaine du Règlement général européen sur la protection des données. Il surprend vu de Suisse, où les sanctions prévues dans la nouvelle loi seront bien plus faibles.
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S'abonnerL'application éditée par le géant chinois ByteDance tente de rassurer les autorités occidentales. Sa stratégie de communication a changé en conséquence. Suffisant pour renverser la vapeur?
Pour la journaliste Océane Herrero, qui publie «Le système TikTok», l'application chinoise a poussé le principe de la recommandation à son paroxysme. Au point de pousser les utilisateurs à entretenir une relation pas toujours saine avec son algorithme.
Les parents d'élèves de l'école de Belfaux à Fribourg ont reçu un courrier les invitant à télécharger obligatoirement une application pour interagir avec l'établissement. L'Etat de Fribourg parle d'une erreur de communication.
Le logiciel utilisé par le prestataire de cartes de crédit Viseca pour permettre à ses clients de consulter leurs relevés mensuels avait une faille. Ces documents ont été accessibles sur Internet pendant 18 mois, heureusement sans être ni repérés ni utilisés. Des milliers de clients sont tout de même concernés, dont ceux de banques comme Raiffeisen, Cler ou la BCGE. Ni le prestataire ni les banques n'ont prévu de les informer.
L'entreprise de Mark Zuckerberg pourrait s'inspirer de Mastodon et proposer un réseau social décentralisé. Une bonne nouvelle pour les utilisateurs mal à l'aise avec la politique de données de Facebook? Pas sûr.
L'armée suisse envisagerait de recourir à TikTok pour faire sa promotion auprès de potentielles futures jeunes recrues, selon la RTS. Un projet qui fait réagir, alors que les Etats-Unis et la Commission européenne ont banni l'application des téléphones de leurs employés.
Face à la polémique, l'entreprise de chemin de fer renonce à déployer des capteurs augmentés permettant d'analyser les flux de personne par segments. Le directeur estime que le projet s'éloigne trop de l'activité principale des CFF.
Dès 2012, les CFF ont mis en place un système de comptage des voyageurs en gare de Lausanne en partenariat avec l'EPFL et un spin-off de la haute école. Depuis, plusieurs centaines de capteurs équipent des dizaines de gares.
Les CFF ont nié recourir à la reconnaissance faciale dans les gares. Mais les caméras qui permettent aujourd'hui d'effectuer le comptage de personnes peuvent déjà récolter de nombreuses données sur les individus. Notre enquête.
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Seule la loi sur la protection des données permet d'encadrer le recours à la reconnaissance faciale dans l'espace public. Formellement, rien n'interdit donc une entreprise privée d'en faire usage. Un projet des CFF relance le débat.
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Comment s'assurer que les données et l'autonomie des personnes soient respectées? Que l'anonymat, l'oubli, l'erreur restent possibles dans un monde numérique où tout fait trace? Une réponse commence à se dessiner: le droit à l'intégrité numérique. Une notion en vogue que cinq cantons romands envisagent d'ores et déjà d'inscrire dans leur Constitution.
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Un suivi interactif des grands indicateurs du dérèglement climatique et de ses solutions.
Les autorités russes auraient mis en place un large système de surveillance des groupes publics sur Telegram. Mais ce n'est pas tout: des activistes affirment que leurs échanges privés, malgré le chiffrement, étaient connus des forces de l'ordre.
Les forces de l'ordre américaines et européennes ont porté un coup dur aux cybercriminels de Hive, responsables de milliers d'attaques par rançongiciels ces derniers mois. Mais la cybercriminalité est comme la nature: elle a horreur du vide.
La nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les secteurs du film et du jeu vidéo pourrait être délétère pour la vie privée numérique. Un référendum pourrait aboutir, mais l'incertitude demeure: le comité n'a pas été en mesure de comptabiliser les signatures.
La nouvelle loi sur la protection des mineurs dans les secteurs du film et du jeu vidéo pourrait être délétère pour la vie privée numérique. Un référendum pourrait aboutir de justesse.
Les Etats-Unis ont interdit l'utilisation du réseau social chinois pour les employés fédéraux ainsi qu'au sein du Sénat et de la Chambre des représentants. En Suisse, certains élus s'interrogent aussi. Des experts estiment que les risques sont réels.
Protection des données, cybersécurité, Gafam... autant de sujets qui préoccupent les Genevois. Ils peinent pourtant à entrer dans le débat politique.
Décrit comme un contrôle dystopique de la population tout droit sorti de 1984, ce système est pour l'instant bien moins poussé et centralisé qu'il n'y parait.
Jean-Pierre Pasquier est député suppléant au Grand Conseil de Genève et Bertrand Reich est président du PLR Les Libéraux-Radicaux Genève.
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