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Chaque matin, un résumé de l'actualité envoyé d’une ville différente du monde.
S'abonnerLe fart, cette cire qui améliore la glisse des skis et des snowboards, peut libérer des substances toxiques nocives pour la santé et l’environnement. De Conches à Evolène, en passant par Loèche, de nombreux «points chauds» de la contamination aux PFAS en Suisse sont des destinations prisées… pour le ski de fond.
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S'abonnerLa Suisse n’échappe pas à la contamination aux PFAS, ces «polluants éternels». Plus de 300 sites seraient contaminés, dont 134 à des concentrations problématiques. Et ils se trouvent souvent là où on s’y attend le moins… Zoom sur un fléau silencieux.
Nyon, Sion, Loèche… La contamination aux PFAS en Europe n’épargne pas la Suisse, qui compte plus de 300 sites pollués. Mais pour l'écotoxicologue Nathalie Chèvre, cette pandémie silencieuse s'étendrait bien au-delà.
L’avocate genevoise Corinne Corminboeuf a ajouté un master en sciences de l’environnement à son expérience de pénaliste. Elle décrypte dans cette chronique les enjeux du différent entre les habitants de l’île de Pari, en Indonésie, et le géant suisse du ciment. Au cœur de la dispute: la transparence et la sincérité de l’engagement d’Holcim de réduire drastiquement ses émissions de CO2.
Un brevet controversé de la firme bâloise Syngenta portant sur un poivron résistant aux insectes était sous la loupe de l’Office européen des brevets ce jeudi 16 février. Après dix ans de bras de fer, le géant de l’agrochimie en est sorti gagnant. Un échec cuisant pour des agriculteurs, sélectionneurs et ONG qui qualifient l’affaire de «biopiraterie».
Tempête glaciale, canicule meurtrière, feux incontrôlables… 2022 a eu des airs d’apocalypse (comme 2021), mais a aussi vu des avancées significatives en matière de protection de l’environnement. Heidi.news a fait le compte de ces évolutions positives.
Maja Pfund et Cyrill Hermann sont les premiers à représenter la jeunesse suisse à la COP15 sur la biodiversité à Montréal. La première étudie l’écologie des plantes à l’Université de Berne, le second est militant écologiste zurichois à la Grève pour le climat. Après deux semaines de négociations intenses, ils reviennent sur cette expérience mitigée et leur espoir que la voix des jeunes suisses soit reconnue par la délégation nationale.
A la COP15 pour la biodiversité, 195 pays ont accepté de conserver 30% des terres et des mers d'ici 2030. Si certains s’en réjouissent, d’autres craignent qu'une telle approche menace d'expulsion jusqu'à 300 millions de personnes de ces zones.
A la COP15 pour la biodiversité, les pays discutent de conserver 30% des terres et des mers d'ici 2030. Si certains s’en réjouissent, d’autres questionnent cette approche et craignent des violations des droits humains. Jusqu'à 300 millions de personnes pourraient être impactées.
Un lecteur nous pose la question de l'usage du labour profond dans les cultures traditionnelles suisses, et des dégâts générés dans le sol. Réponse.
Albert Rösti a défendu les intérêts du lobby pétrolier Swissoil et d’auto-suisse, deux faîtières qui défendent les énergies fossiles.
L'Union européenne a adopté un accord pour interdire l'importation de matières premières provenant de la déforestation importée. La Suisse, quant à elle, reste fidèle à sa politique des petits pas.
Un suivi interactif des grands indicateurs du dérèglement climatique et de ses solutions.
Les élevages au pâturage peuvent avoir un bilan carbone neutre, et même des bénéfices pour la biodiversité ou la qualité des sols. De quoi changer les perspectives, quand les pays développés sont appelés à réduire leur consommation de viande et d'autres souffrent d’insécurité alimentaire.
Le porc sature plus les sols en fertilisants que le bœuf. Le riz émet plus de gaz à effet de serre que le porc. La pêche de dorade perturbe plus les écosystèmes que la viande ou les céréales. Ou de l’importance d’utiliser plusieurs indicateurs pour évaluer l’impact de l'agriculture sur l’environnement à l’échelle mondiale.
La ruée vers l'«or blanc» touche l'Europe. La France accueillera une première mine de lithium sur son sol, qui devrait équiper les batteries de 700’000 véhicules électriques par an.
Changement climatique, destruction de l'habitat, pollution... l'homme serait responsable du déclin de près de 70% des populations d'animaux sauvages, prévient l'ONG. Mais il n'est pas trop tard.
Cet article est extrait de notre newsletter hebdomadaire Heidimanche. Inscrivez-vous, c'est gratuit!