Réservé aux abonnés

Le premier syndicat de Google lutte aussi contre l’ubérisation

200 employés de Google ont formé le premier syndicat de l’entreprise, une exception qui pourrait faire école dans le secteur de la technologie explique Business Insider. Certes, les employés de Google sont parmi les mieux payés des Etats-Unis avec un revenu moyen de 232’000 dollars par an en 2019. Toutefois, le mécontentement a grandi parmi les employés suite à des affaires de surveillance de harcèlement sexuel ou bien encore du licenciement d’une éthicienne dans le domaine de l’intelligence artificielle. Enfin et peut-être surtout la moitié des 120’000 employés d’Alphabet, la maison-mère de Google, sont des contractuels et des intérimaires qui ne bénéficient pas des avantages octroyés par l’entreprise.

Pourquoi c’est important. Lors des élections de novembre dernier, la Californie a adopté une loi, la Proposition 22, qui évite aux géants de la technologie de considérer les travailleurs contractuels de leurs plateformes comme des employés. Cela concerne en particulier les chauffeurs d’Uber ou de Lyft mais comme de plus en plus d’entreprises, comme la chaine d’épicerie Albersons, font basculer leurs employés dans ces statuts précaires, cela alimente une certaine grogne sociale.

Lire l'article sur Business Insider

Cet article est réservé aux abonnés.

Pour lire la suite de cet article et des milliers d'autres, abonnez-vous à partir de CHF 16.- par mois.

Le journalisme de qualité nécessite du temps, de l'investigation et des moyens. Heidi.news est sans publicité. L'avenir de votre média dépend de vous.

Je profite des 30 premiers jours gratuits

Les bonnes raisons de s’abonner à Heidi.news :

  • Un mois d’essai, sans engagement sur votre premier abonnement
  • La newsletter le Point du jour édition abonnés
  • Les archives en illimité
  • Des échanges avec nos journalistes