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Et si c'était une IA qui trouvait de la vie ailleurs dans l’Univers?

Des plus de 4100 exoplanètes découvertes à ce jour dans notre galaxie, plusieurs ont une atmosphère. Et des signatures de vie? | JPL/CALTECH

Heidi.news est partenaire des Applied Machine Learning Days (AMLD), et déplace jusqu'au mercredi 29 janvier sa rédaction à l'EPF de Lausanne, sur le site de l'événement.

Pour traquer la vie sur une autre planète que la Terre, les scientifiques s’équipent d’un outil inédit: des algorithmes d’intelligence artificielle. Ceux-ci aident effectivement à repérer les traces d’éléments chimiques présents dans l’atmosphère de planètes extrasolaires, traces qui sont peut-être autant de signatures de formes de vie, passées ou présentes.

Pourquoi c’est déterminant. Alors que s’intensifie la recherche non plus de, mais sur les exoplanètes et sur leurs caractéristiques, et alors que les données à leur égard ne cesseront d’affluer en masse en provenance des télescopes spatiaux (actuels ou futurs), l’utilisation des techniques les plus pointues de machine learning permettra de trier ces informations plus efficacement et rapidement. Partout dans le monde, les groupes d’astronomes en quête d’indices d’une vie extraterrestre affûtent leur code informatique. Et ceux de l’Université de Berne, dont fait partie Chloé Fisher, présente aux AMLD2020, sont en première ligne.

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