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Les étonnantes traces laissées par Néandertal et Denisova dans le génome humain

Une reconstitution anachronique au Neanderthal Museum, en Allemagne | Clemens Vasters/Flickr/Creative Commons

Deux chercheurs suisses, Alexandre Gouy et Laurent Excoffier, de l'Université de Berne et de l'Institut suisse de bio-informatique à Lausanne, proposent une nouvelle méthode pour savoir quels gènes de notre ADN ont été hérités de nos cousins humains aujourd’hui éteints, les hommes de Néandertal et de Denisova. De quoi mieux comprendre l’évolution de fonctions biologiques clés, comme l’immunité.

Pourquoi c’est intéressant. Depuis qu’on dispose de génomes de référence pour des espèces humaines disparues, Néandertal et Desinova, les scientifiques cherchent à mesurer la part génétique que nous avons conservée de leur fréquentation. Car le génome de l’homme moderne s’est enrichi de métissages avec ces voisins. Or, la plupart des publications scientifiques se sont jusqu’ici intéressées à des gènes au cas par cas. Ici, il s’agit d’une étude plus fonctionnelle qui évoque les pressions de sélections responsables du maintien de tel ou tel gène.

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