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Les débris spatiaux, casse-tête pour la gouvernance internationale

Image d'illustration représentant des débris spatiaux (pas à l'échelle) en orbite autour de la Terre | ESA

Après avoir longtemps représenté l’une des dernières frontières, le développement des opérations spatiales privées (ou new space) est en plein essor, en témoigne le nombre de lancements réalisés pour la constellation Starlink. Mais l’espace est déjà truffé de débris (résidus de lanceur, morceaux de satellites obsolètes…), faisant courir toute une gamme de risques aux activités qui dépendent des opérations spatiales. A l’EPFL, le Centre international pour la gouvernance des risques (IRGC) a empoigné le problème. Il livrait fin mai un premier rapport conçu avec un groupe d’experts interdisciplinaires.

Pourquoi c’est problématique. Le développement durable est un enjeu sur Terre, mais aussi dans l’espace. Il est prévu de placer en orbite jusqu’à 60’000 objets supplémentaires au cours de la prochaine décennie, ce qui accroît dans des proportions inédites le risque de collision. Les enjeux ne sont pas seulement scientifiques ou financiers, ils sont également opérationnels: un accident pourrait affecter les télécommunications, la navigation par satellite, mais également les transactions financières ou la surveillance du climat.

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