Les astronomes amateurs, une aide bienvenue pour étudier les comètes... à certaines conditions
Quel autre sujet que l’espace fait autant rêver le grand public? Les astronomes professionnels peuvent justement bénéficier de l’aide du grand public, à travers des projets collaboratifs. Ces derniers sont souvent prometteurs… mais pas toujours au point selon une étude parue dans The Planetary Science Journal, consacrée à l'observation par des amateurs de la comète 67P/Tchourioumov-Guérassimenko, aussi appelée Tchouri. Cette étude entrevoit des pistes d’amélioration.
Pourquoi on en parle. Les sciences participatives (ou citizen science), qui impliquent des bénévoles non-professionnels afin d’en tirer des connaissances scientifiques, existent depuis longtemps en sciences naturelles, par exemple en mettant à profit le travail des ornithologues amateurs. Avec le développement des technologies numériques, cette tendance a investi d’autres domaines, dont l’astronomie. Les conditions de succès sont simples: même si les amateurs ont l’avantage d’être nombreux et passionnés, la clé est de leur faire respecter une méthodologie uniforme…
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ? Se connecter