L'imbroglio du Brexit s'exporte aussi dans l'espace avec Galileo
La sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne a beau être effective depuis le 1er janvier, les discussions se poursuivent concernant la participation britannique programme spatial européen. En cause, la double casquette du Royaume-Uni, qui n’est certes plus membre de l’Union Européenne (UE), mais qui reste un État membre de l’Agence spatiale européenne (ESA).
Pourquoi on en parle. La stratégie spatiale de l’UE comprend deux programmes majeurs: le système de géopositionnement par satellite Galileo et le programme d’observation et d’étude de la Terre Copernicus. Le premier est exclusivement financé par l’UE, mais pas le second, qui est une collaboration entre l’UE et l’ESA. Dans ces conditions, quelles seront les conséquences du Brexit dans l’espace?