Réservé aux abonnés

L'impact sanitaire de la diminution de pollution pendant le confinement

Les images satelites de la pollution en novembre 2019 et avril 2020. Crédit: Swiss data cube

L’Université de Genève a organisé un cycle de trois conférences intitulé «Confiné-es: pour le meilleur et pour le pire». Mardi, Antoine Flahault, professeur à la Faculté de médecine et directeur de l'Institut de santé globale, et Gregory Giuliani, responsable du projet Swiss Data Cube et chargé de cours à l’Institut des sciences de l’environnement, discutaient des premières études mesurant les impacts environnementaux et sanitaires du confinement en Suisse.

Pourquoi c’est important. Quatre milliards de personnes confinées et l’activité industrielle au ralenti pendant plus de deux mois: la diminution de la pollution a été indéniable pendant les semaines de confinement de mars à mai. Des images satellites de la NASA et de l’ESA ont permis de prendre conscience de l'ampleur de ce phénomène. De son côté l’Université de Genève suit la pollution atmosphérique en Suisse et au-delà grâce à l’analyse de données du satellite Copernicus Sentinel-5P. Ces informations sont ensuite croisées avec des données de santé publique. Voici ce que disent ces observations.

Cet article est réservé aux abonnés.

Pour lire la suite de cet article et des milliers d'autres, abonnez-vous à partir de CHF 16.- par mois.

Le journalisme de qualité nécessite du temps, de l'investigation et des moyens. Heidi.news est sans publicité. L'avenir de votre média dépend de vous.

Je profite des 30 premiers jours gratuits

Les bonnes raisons de s’abonner à Heidi.news :

  • Un mois d’essai, sans engagement sur votre premier abonnement
  • La newsletter le Point du jour édition abonnés
  • Les archives en illimité
  • Des échanges avec nos journalistes