Chacun y allait de sa méthode, de l’étude de la forme de la tête à l’examen —à la loupe— des dents. Un médecin aux prétentions douteuses avait même créé l’oscillophore, un appareil censé déterminer l’héritage parental à partir de vibrations électroniques du sang.
Même la justice s’est parfois laissée berner par ces pseudo-sciences, raconte Nara Bilanich, qui considère que la frénésie de tests en tout genre, décuplée ces dernières années avec les analyses d’ADN, en dit plus sur notre société que sur les réalités de la biologie.