La réaction des autorités. Le Canton estime qu’à ce stade, il n’est pas nécessaire de placer en quarantaine ou de dépister les adolescents des autres classes et les personnes qui n’ont pas été en contact direct avec le jeune homme.
L'Hôpital universitaire de Bâle séquence de nombreux échantillons, précisent encore les autorités. Pour l’heure, rien n’indique que le variant Omicron a été trouvé dans les autres classes du canton qui présentent des cas positifs au Sars-CoV-2.
«Il est maintenant important de garder son calme dans cette situation», ajoutent les autorités.
«Le Département de la santé informera si des mesures supplémentaires sont nécessaires. Le Département de la santé et le Département de l'éducation continuent à demander à chacun de faire preuve de prudence et de suivre les mesures de protection en vigueur. De même, il est demandé à chacun de se faire tester immédiatement en cas de symptômes.»
Des chaînes de transmission à préciser. Le 30 novembre, l’OFSP indiquait que les deux premiers cas confirmés d’infection au variant Omicron — dont le jeune Bâlois — étaient liés (voir tweet ci-dessous) .
Les investigations complémentaires ne confirment pas cette hypothèse, précisent ce jour les autorités sanitaires.
#CoronaInfoCH
— BAG – OFSP – UFSP (@BAGOFSPUFSP) November 30, 2021
Deux cas d’infection au variant Omicron confirmés en Suisse. Les deux cas sont liés entre eux. Les personnes ont été placées en isolement.