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Novak Djokovic a le mérite d’être humain

Paul Ackermann

J’ai toujours préféré les McEnroe aux Sampras, les Maradona aux Matthäus, les Zlatan aux Mbappé. Je ne suis pas un spécialiste du sport ni des gestes techniques. Juste un spectateur qui aime les histoires fortes, les atypiques qui donnent tout, les caractères qui me touchent par ce qu’ils ont d’excessif dans la prouesse et au-delà. Bref, les performances épiques au service de l’âme humaine, nécessairement torturée.

J’ai toujours recherché dans le sport des héros humains capables d’exploits surhumains. Or être humain, c’est être faillible et, parfois, mal se comporter.

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