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Le long chemin pour repenser l’obésité des ados avec plus de bienveillance et de douceur

Image d'illustration. | Shutterstock / Mircea Moira

Bien longtemps, l’excès de nourriture et le manque d’activité physique ont été perçus comme étant les seuls facteurs de l’obésité des adolescents. Si l’opinion publique peine à évoluer et continue de stigmatiser les jeunes en surpoids, médecins et diététiciens invitent à changer de paradigme. Une approche plus bienveillante et aussi plus efficace gagne du terrain et mérite qu’on s’y attarde.

Pourquoi c’est important. Selon une étude de Promotion Santé Suisse parue en septembre 2021, 17,4% des adolescents en 2e cycle et 21,4% de ceux en 3e cycle sont en surpoids ou obèses, c'est-à-dire que leur IMC (indice de masse corporelle) est supérieur à 25 kg/m2. Si ces chiffres sont largement en deçà de ceux des Etats-Unis où près de 50% des adolescents sont en surpoids ou obèses, ils n’en restent pas moins inquiétants.

En effet, d’une part, cette obésité contribue au développement précoce de pathologies telles que le diabète de type 2, la dyslipidémie, l'hypertension, les troubles respiratoires du sommeil, la stéatose hépatique non alcoolique et le syndrome des ovaires polykystiques. D’autre part, elle est un facteur majeur de discriminations scolaires, professionnelles et souvent familiales. Quelles solutions apporter alors?

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