Pour y parvenir, les chercheurs misent sur les lymphocytes T ambitionnant donc d’induire une immunité cellulaire plutôt que la production d’anticorps.
«Il s'agit d'un vaccin complémentaire aux autres vaccins déjà existants, qui sont performants. Il ne vise pas à les remplacer», explique Alix Miauton, cheffe de clinique à la Policlinique Médecine tropicale, Voyages et Vaccinations à Unisanté.
Phase 1. Les participants à cet essai de phase 1 recevront le vaccin via de micro-aiguilles d’un millimètre, qui ne seront pas encore réunies dans un patch. Ils seront suivi six mois et les résultats sont attendus pour l’été.
Si ceux-ci sont positifs, suivront la phase 2 et, le cas échéant, la phase 3. Un processus qui ne pourra pas aboutir à une mise sur le marché avant 2025.