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Israël devient menaçant avec les non-vaccinés et s’achemine vers une liste noire

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (à gauche) observe l’administration d’une dose de vaccin à Theodor Salzen, la 4 millionième Israélien à être vacciné, mardi 16 février à Jérusalem. | Keystone / Alex Kolomoisky / Pool via AP

Plus de 4,1 millions d’Israéliens sont immunisés contre le coronavirus, dont 2,7 millions ont reçu deux doses du vaccin Pfizer. La réticence aux vaccins est d’habitude faible dans l’Etat hébreu où 96% des habitants sont immunisés selon les plans du ministère de la Santé.

Pourquoi le ton devient menaçant. Avec le coronavirus, la peur et la désinformation retiennent de nombreux habitants. Lancé dans un processus complexe de déconfinement, dont la prochaine étape aura lieu dimanche 21 février, Israël semble prêt à tout pour convaincre les indécis. En premier lieu les «plus de 570'000 Israéliens de plus de 50 ans qui mettent leur santé en danger et risquent la mort» en refusant l’injection, selon les mots de Benjamin Netanyahou. Après les promesses aux personnes vaccinées, est venu le temps des menaces pour celles qui refuseraient les injections. Le gouvernement israélien a entamé mercredi 17 février des manœuvres controversées pour convaincre les vaccino-hésitants.

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