Réservé aux abonnés

Grosse fatigue après un «petit cancer» in situ

JOUR 7 - Heidi.news est partenaire média de l'aventure r’Ose Transat. Nous suivons l’équipage durant les 21 jours de traversée de l'Atlantique. Les six navigatrices touchées par le cancer du sein prennent la plume durant la traversée. Aujourd'hui, Francesca Argiroffo évoque son cancer in situ (forme de cancer localisé) et la période post traitements, qui s'est révélée assez éprouvante.

«J’ai dû effectuer des séances de radiothérapie pendant six semaines, tous les jours. C’était assez fatiguant. Pour moi, cette étape du traitement fait déjà partie de la période de l’après-cancer.

Et même si on m’avait avertie sur les effets secondaires de la radiothérapie, fatigue et brûlures, au fond de moi-même, je me disais qu’un cancer in situ n’était finalement pas comme un vrai cancer. Je n’avais pas de cancer hormono-dépendant, pas de ganglions touchés et je n’avais pas besoin de subir une chimiothérapie. Donc en faisant de la radiothérapie c’était comme «mettre une ceinture et des bretelles». C’est du moins ce qu’on m’a expliqué à l’époque.

Réservé aux abonnés

Cet article est réservé aux abonnés.

Déjà abonné(e) ? Se connecter