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Don d’organes: et maintenant, que va-t-il m’arriver si je meurs?

Dans un bloc opératoire des HUG. | Keystone / Martial Trezzini

C’est fait. Les Suisses ont accepté dimanche 15 mai de modifier la loi sur la transplantation. Le pays passe au système du consentement présumé au sens large. Autrement dit, si une personne ne s’oppose pas au don de son vivant, ses organes pourront être prélevés à sa mort. A l’importante nuance près que les proches seront associés à la décision. Ce résultat interpelle une lectrice qui demande:

«La modification de loi est-elle déjà en vigueur? Que va-t-il m’arriver si je meurs et que je n’ai pas consigné ma décision?»

La réponse de Lorène Mesot, journaliste du Flux santé. Merci pour votre question. Dissipons peut-être une inquiétude: l’ensemble de la population sera informé de l’entrée en vigueur de la modification de loi. Elle devrait intervenir mi-2024, estime l’OFSP.

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