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Des outils pour moins et mieux prescrire fluoroquinolones et antibiotiques

Image d'illustration. | Shutterstock / solarseven

Les faits ne sont pas nouveaux, mais assez récurrents pour pousser l’OFSP à réagir, dans son bulletin hebdomadaire paru lundi 7 février: les médecins suisses doivent faire des efforts supplémentaires pour moins – et surtout mieux – prescrire les antibiotiques. Les patients romands en reçoivent toujours plus que les Alémaniques et l’utilisation élevée des fluoroquinolones alarme les autorités sanitaires.

Pourquoi on en parle. L’antibiorésistance n’est pas une fatalité. C’est en substance le message de l’OFSP. Pour éviter qu’un usage inadéquat et trop généreux d’antibiotiques accélère la résistance des germes, il est nécessaire de moins prescrire. Pour ce qui est des dérivés de quinolones, la problématique est autant liée aux résistances qu’aux effets secondaires.

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