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Une étude menée à Genève démontre le lien entre lieu d'habitation, sodas et obésité

Image d'illustration | Marie Sjödin / Pixabay

Une étude inédite issue d’une coopération entre Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), l’Université de Genève (UNIGE) et le Centre hospitalier universitaire Vaudois (CHUV) a établi un lien de corrélation entre l’indice de masse corporelle (IMC), le quartier d'habitation et la consommation de boissons sucrées. Les résultats ont été publié jeudi 14 novembre dans Nature Nutrition&Diabete.

Pourquoi on vous en parle. Les causes de l’obésité sont multiples et complexes. Depuis quelques années, plusieurs études internationales ont fait le lien entre consommation de boissons sucrées (sodas, boissons énergétiques, jus aromatisés, thé ou café sucré) et obésité. Mais elle ont fait l’objet de controverses. L’étude parue jeudi renforce la notion de lien entre consommation de boissons sucrées et statut pondéral à l’échelle locale.

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