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Andréa Pfeifer: «Il y a de bonnes chances de traiter Alzheimer grâce aux travaux sur une nouvelle protéine»

Andréa Pfeifer, fondatrice et directrice de l'entreprise lausannoise AC Immune, lors de l'introduction en bourse au Nasdaq en septembre 2016. | Nasdaq

La journée mondiale d’Alzheimer (le 21 septembre) oblige à dresser un constat difficile: il n’existe toujours pas de traitement et les coûts liés à la maladie risquent de faire exploser les systèmes de santé. Des médicaments actifs sur une protéine, baptisée Tau et jusqu’ici jugée moins prioritaire, pourraient changer la donne. L’entreprise lausannoise AC Immune a reçu ce 20 septembre un financement de 30 millions de francs pour poursuivre les recherches sur cette protéine. Sa fondatrice et directrice Andréa Pfeifer explique pourquoi cette manne est capitale.

Pourquoi il y a urgence. Dans le monde, un nouveau cas de démence, le plus souvent lié à Alzheimer, est diagnostiqué toutes les trois secondes. Cela signifie que d'ici 2050 le nombre de personnes atteintes de démence devrait plus que tripler, pour atteindre 152 millions. Avec un coût mondial qui passera d'environ 1000 milliards de dollars à 2000 milliards de dollars d'ici 2030.

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