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Avec l’hiver, le risque d’un rebond épidémique. Oui, mais pourquoi?

Image d'illustration. 3ème Mondial de Fondue, en novembre 2019 à Tartegnin. | Keystone / Jean-Christophe Bott

Inlassablement, le Conseil fédéral répète son équation devant la presse. Delta + faible couverture vaccinale + arrivée de l’hiver = impossibilité d’écarter le risque de saturation des hôpitaux. Si les effets des deux premières variables — contagiosité de Delta et immunité populationnelle — sur la circulation virale sont bien documentés, l’effet de la saisonnalité du virus reste lui largement incompris, même si son existence fait désormais consensus auprès de la communauté scientifique.

Pourquoi c’est mystérieux. Chaque saison se décline en de nombreux paramètres: température, lumière, humidité de l’air, etc. Autant de facteurs susceptibles d’avoir un effet sur nos comportements, mais aussi sur la biologie humaine et la viabilité du Sars-CoV-2. A ce stade, il reste très compliqué de décortiquer les facteurs et mécanismes sous-jacents qui font que le virus se propage plus facilement en hiver dans les régions tempérées.

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