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Acupuncture, hypnose ou ostéopathie: ils ont fait le choix de se soigner autrement

Un modèle montre des points d'acupuncture à Singapour, en janvier 2000. | Keystone / AP Photo / Ed Wray

Un tiers des Suisses a recours aux médecines complémentaires chaque année — un engouement en progression, particulièrement présent côté romand. Entre traitements remboursés et «thérapies» en tous genres, cet été, Heidi.news explore un sujet qui crispe autant qu’il met en exergue les limites de la médecine conventionnelle. Episode 2.

Ils s’appellent Robin, Corentin*, Romain et Cléo. Tous font, ou ont fait, appel à des pratiques non conventionnelles avec un objectif de soin ou de mieux-être. Ils racontent leur démarche et leurs motivations.

Pourquoi on leur donne la parole. Qui mieux que les patients qui y ont recours pourraient expliquer la place qu’ils attribuent aux pratiques non conventionnelles? Leurs mots disent leurs croyances, leur rapport à la médecine conventionnelle et la relation qu’ils entretiennent avec leur trouble ou leur maladie. Nous leur donnons ici la parole sans coupe ni contradiction. Un premier pas dans la nébuleuse des médecines non conventionnelles, avant d'entrer dans le vif - et la controverse - du sujet avec des praticiens et experts.

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