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A l'heure du bilan de la task force, Tanja Stadler répond aux critiques sans faillir

Tanja Stadler, mathématicienne, biostatisticienne et professeure au Département de science et d'ingénierie des biosystèmes de l'EPFZ à Bâle, le mardi 31 août 2021. | Keystone / Georgios Kefalas

Tanja Stadler, présidente de la task force scientifique de la Confédération, tire sa révérence jeudi 31 mars. Avec elle, c’est toute l’équipe qui retourne à ses seules occupations professionnelles. La Suisse retrouve la normalité, du moins dans la gestion de l’épidémie, et un tel comité consultatif n’est plus nécessaire.

Mais quel bilan tirer après ces deux années mouvementées? La task force a préparé un rapport de clôture de son activité, publié le 29 mars au soir sur son site internet, et a pour but «de lever pas mal d’incertitudes et de mieux expliquer notre activité depuis début 2020», souligne la mathématicienne bâloise. 110 pages qui donnent «une vue d'ensemble du travail de la task force et fournissent des impulsions pour l'organisation future du dialogue entre la science, la politique et l'administration».

Dans cet entretien accordé à Heidi.news, elle revient sur les nombreuses critiques dont la task force a fait l’objet ces derniers mois. Elle n’évite pas les questions qui fâchent, ni les sujets sensibles, et défend le travail – bénévole – accompli par ses membres.

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