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A Fukushima, l’angoisse nucléaire ravivée après le tremblement de terre du 16 mars

La centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi, jeudi 17 mars 2022, peu après un puissant tremblement de terre qui a frappé au large de la côte. Un petit tsunami a atteint la côte, sans toucher la centrale, et l'avis de danger a été levé jeudi matin. | Keystone / Kyodo News via AP

Le séisme de magnitude 7,3 qui a secoué le Japon mercredi soir, a ravivé les angoisses du Tohoku, moins d’une semaine après les onze ans du tremblement de terre qui a fait près de 19’000 morts dans la région en 2011. Plus d’une décennie est passée, mais les cicatrices restent à vif et des citoyens de Fukushima restent inquiets pour la santé de leurs enfants.

Pourquoi on en parle. Peu avant minuit, le 16 mars, un séisme de magnitude 7,3 a secoué le nord-est du Japon, déclenchant une alerte au tsunami sur les côtes du Tohoku. La secousse, qui a privé d’électricité deux millions de foyers, a surtout ravivé l’angoisse dans une région toujours meurtrie: la semaine dernière, l’archipel commémorait les 11 ans du 11 mars 2011. Depuis cette date, le Japon reste hanté par ce tremblement de terre qui a causé un tsunami et l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi.

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