«Comme pour le climat, il faut une sobriété face à la surveillance numérique»
Alors que la sobriété est un terme à la mode en ce qui concerne l’urgence climatique, celui-ci n’est jamais employé lorsqu’il s’agit de s’interroger sur la surveillance croissante des individus grâce aux nouvelles technologies.
La surveillance numérique est-elle vraiment une fatalité? Nous avons posé la question à Olivier Tesquet, journaliste à Télérama et auteur de deux ouvrages sur l’usage des nouvelles technologies à des fins de contrôle des individus.