Comment la MDMA m’a fait flirter avec la folie pour mieux me retrouver
Populaire dans les milieux festifs des années 1990, l’ecstasy pure, ou MDMA, peut générer, dans un contexte protocolé, un sentiment d’amour inconditionnel de longue haleine. Il n’en demeure pas moins un puissant psychoactif qui réserve parfois des mauvaises surprises, comme ma troisième séance en atteste.
Des convulsions dignes d’une scène de l’exorciste et une musique électronique douce. Au loin, l’image d’un ciel étoilé et les bruits ambiants de la nature locale. Pendant qu’une femme vomit ses tripes dans un seau, une autre plane dans un hamac en un état de béatitude totale.
Prix de la prestation en groupe: entre 250 et 350 francs.
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ? Se connecter