Comment j'ai voulu vendre une bonne histoire à Netflix
J’avoue avoir souri quand Heidi.news m’a dit que vous, citoyens et citoyennes suisses, alliez voter sur une «loi Netflix» le 15 mai. En France, cela ne fait pas un pli. Depuis le début de cette année, les plateformes comme Netflix, Amazon, Apple TV ou Disney+ doivent consacrer 20% de leur chiffre d’affaires français à des séries, films et programmes français ou européens. Cela n’a pas été soumis à référendum (!) c’est tout simplement un décret du premier ministre. Vous pensez bien que cette manne financière change tout, y compris pour un journaliste indépendant comme moi. C’est donc le sujet de mon Exploration, coproduite par Heidi.news et la revue française XXI.
6 épisodes
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Vous allez voter, en Suisse, sur le dispositif qui emballe tout le monde de l'audiovisuel en France?
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Le jour où mon éditeur a signé un «first look» avec un producteur
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abo La recette d'une bonne histoire? Un parfum de destin sur fond d'ennui
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abo Quand les géants du streaming se battent, il pleut des millions
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abo Le jour où j'ai pénétré le bastion de Netflix à Paris
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abo La «narration Netflix» au service du public ou du business?
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La vie Brut, ou l'anti-Netflix
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abo En définitive, la «bonne histoire» compte moins que la «chasse aux talents»