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Quand le piège du harcèlement se referme sur les doctorants

Image d'illustration. | KEYSTONE/Gian Ehrenzeller

Il y a Sonia*, qui pleure à chacune des séances hebdomadaires avec le professeur censé l’épauler dans sa thèse. Il y a aussi Ivan*, enfermé dans une dynamique toxique avec sa superviseuse. Ces deux témoignages récoltés par Heidi.newsà lire ici – illustrent la vulnérabilité des doctorants face au harcèlement psychologique et aux abus de pouvoirs dans les institutions académiques romandes.

Pourquoi c’est grave. L’université et ses armées de chercheurs précaires serait-elle particulièrement sujette au mobbing? Face au manque de données et de recherches sur le sujet, difficile de l’affirmer. Mais c’est bien ce que deux enquêtes récentes auprès des principaux intéressés laissent penser. Une chose, toutefois, est sûre: pour les doctorants qui en sont victimes, la dépendance vis-à-vis de leur directeur ou directrice de thèse agit comme un puissant frein lorsqu’ils cherchent à se défendre.

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