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Genève réclame la pérennisation du télétravail pour les frontaliers

Le Canton de Genève compte 95'000 travailleurs frontaliers | Keystone / Salvatore Di Nolfi

Une solution durable et pérenne pour le télétravail du personnel frontaliers, c’est ce que demandent les autorités genevoises, appuyées par les milieux patronaux et les représentants des régions françaises limitrophes. Mais le chemin vers la pérennisation d’un accord demeure incertain et semé d’obstacles : deux régimes d'imposition qui entrent en conflit entre la Suisse et la France ainsi qu’un règlement contraignant en matière de télétravail - suspendus durant la pandémie - risquent de supprimer définitivement la possibilité pour les travailleurs frontaliers de travailler depuis leur domicile.

Pourquoi c’est important. Le Canton de Genève compte environ 95'000 travailleurs frontaliers, dont deux tiers exerçant une profession dans le domaine des services où le télétravail est envisageable. Durant la pandémie, ce personnel a pu bénéficier du télétravail grâce à un régime d’exception qui arrive bientôt à échéance. Toutefois, les entreprises et les autorités veulent garder cette possibilité d’effectuer une partie du travail à la maison, jugée positive dans le but de désengorger les routes, améliorer la qualité de vie des employés et leur productivité.

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