«Finir sa thèse au chômage, c'est se sentir comme un imposteur»
Entre culpabilité et craintes pour l'avenir, une doctorante qui termine sa thèse en étant inscrite au chômage témoigne.
Lila* a 32 ans. Pour témoigner, elle préfère rester anonyme. «S’exprimer sur les difficultés du monde académique, c’est un risque pour les chercheuses et chercheurs», confie-t-elle.
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