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EXCLUSIF – Les failles de l’enquête sur l'empoisonnement au foyer de Mancy

Le foyer pour mineurs de Mancy, à Genève / Eddy Mottaz pour Le Temps

L’instruction bute sur l'absence d'une prise de sang aux HUG et des témoins et protagonistes qui n’ont rien vu et rien entendu. Et pourtant, une jeune fille autiste, incapable d’ingérer elle-même les médicaments, a été intoxiquée.

A quoi tient une procédure pénale? A une prise de sang dont l’absence pourrait s’avérer décisive, aux lenteurs du Ministère public qui ont permis aux témoins de perdre la mémoire et à la loi du silence qui semble régner parmi les protagonistes et les témoins clés. Selon des documents consultés par Heidi.news et Le Temps, c’est ce qui ressort de l’instruction relative à la surmédication de la jeune Malika* au foyer pour mineurs de Mancy, dans le canton de Genève, lors de cette funeste soirée du 28 mars 2021.

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