Au niveau de la CCT, plusieurs points sont source de litiges, indiquent les syndicats SIT et SSP. Parmi ces points, la remise en question d’un entretien avant toute procédure de licenciement, qui pourrait passer d’obligatoire à facultatif.
«Je n’ai aucun doute sur le fait qu’une solution sera trouvée d’ici à la fin de l’année», tempère Pierre Coucourde, président de l’Agoeer interrogé par Le Temps. Face à la menace des syndicats de l’absence de CCT au 1er janvier 2023, il souligne que «personne ne souhaite un vide juridique».