Pourquoi c’est significatif. Malgré ses innombrables déboires liés à l’exploitation des données de ses utilisateurs, Meta était parvenu à demeurer dans une dynamique de croissance. Comme beaucoup d’autres entreprises de technologie, le groupe de Mark Zuckerberg était aussi parvenu à profiter de la pandémie qui a rivé les utilisateurs devant leurs écrans.
Pour asseoir leurs dominations, Meta comme les autres leaders d’internet ont ensuite continué de dépenser des fortunes en capital et d’embaucher (13’000 personnes chez Google rien qu’au trimestre dernier). Si l’histoire des technologies est d’une quelconque utilité, rien ne dit pourtant que les prochaines innovations sortiront des leaders d’aujourd’hui. En attendant, avec des ricochets qui vont toucher maintenant les sous-traitants, les licenciements dans la tech ne sont probablement pas finis.