Le QR code s'impose déjà comme le symbole de l'après Covid
Il est partout, et pourtant vous n’en avez peut-être même pas conscience. Que vous l’utilisiez ou non, il s’est imposé dans nos vies. Le QR code a fait un retour fracassant en Occident, popularisé par les outils numériques développés durant la pandémie. Du certificat Covid aux applications de traçage des contacts comme SocialPass et Swisscovid, ce symbole indéchiffrable à l’œil nu a aussi traversé les frontières suisses.
Pourquoi on en parle. Le QR code ne date pas d’hier. On doit sa création à Masahiro Hara, un ingénieur travaillant pour Denso Wave, un sous-traitant de Toyota, qui l’a développé en 1994 pour tracer les pièces détachées dans les usines du constructeur automobile japonais. Il s’agit d’une abréviation de «quick response code» (code à réponse rapide). Il fait partie de la famille des code-barres à deux dimensions et peut stocker jusqu’à 7089 caractères numériques ou 4296 caractères alphanumériques. C’est une capacité bien supérieure à celle du code-barres traditionnel, qui peut contenir de 10 à 13 caractères.
Voir aussi: Comment fonctionnent les QR codes?
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