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Instagram, Twitter, Facebook: après la mort, comment gérer les comptes d’un proche

Image d'illustration. | Keystone / Christian Beutler

La logique est implacable. Plus le temps passe, plus le nombre de personnes qui sont — ou ont été — actives sur les réseaux sociaux augmente. De ce fait, à mesure que les aiguilles tournent, le nombre d’utilisateurs décédés croît. A la clé, des millions de comptes tantôt supprimés, tantôt laissés à l’abandon, tantôt transformés en lieu de commémoration.

Pourquoi ça nous concerne tous. Si le défunt n’a pas pris de dispositions de son vivant, le devenir de sa présence sur les réseaux dépend de la volonté des proches — et de la politique des plateformes. Mais comment trancher et quelles sont les formalités à remplir? Quels documents présenter pour prendre la main sur un compte sans en avoir les accès? Petit guide pratique de la mort sur les réseaux, en attendant les résultats d’une importante investigation suisse sur le sujet.

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