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A Neuchâtel, un nouveau centre pour imprimer l’électronique en 3D

Les lasers rapides à haute précision permettent de fonctionnaliser des pièces complexes avec des matériaux conducteurs./M2C

Une montre connectée qui mesure le niveau de stress dans la transpiration, un laboratoire d’analyses biochimiques dans une plaque de verre ou bien encore une prothèse capable de détecter précocement une infection. Telles sont quelques-unes des applications de l’impression 3D multi matériaux, permettant d’intégrer des fonctionnalités, par exemple électroniques, à l’intérieur d’objets et de systèmes. Particulièrement prometteur pour l’industrie de précision suisse, ce domaine émergent bénéficiera désormais des compétences du nouveau centre M2C inauguré le 27 septembre à Neuchâtel par l’EPFL et le CSEM.

Pourquoi c’est le futur. La fabrication additive ou impression 3D consiste à fabriquer des objets par ajout de matière en couches successives. Elle offre une grande liberté de conception pour créer des pièces complexes, parfois impossibles à réaliser autrement. Très développée pour les plastiques, l’impression 3D le devient pour les métaux. Cependant, il s’agit souvent de grandes pièces mécaniques complexes.

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