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En Suisse aussi l’art devient un exutoire pour exorciser le racisme

Œuvre d'art commémorative de Theoplis Smith III, représentant George Floyd dans le rôle de Radio Raheem, tirée de "Do the Right Thing" de Spike Lee. Le personnage est étranglé à mort dans le film. Photo: Credit: Theoplis Smith III

Pas de répit pour la communauté afro-américaine: touchée de plein fouet par le coronavirus, elle est aujourd’hui accablée par le meurtre raciste de George Floyd. Cette crise a pour conséquence une prise de conscience à l’écho international, avec des manifestations partout dans le monde. Et dans cette mobilisation, l’art est souvent érigé en moyen d’expression de la colère et de la douleur. Tour d’horizon et prise de température en Suisse.

Pourquoi on en parle. Un hashtag en chasse souvent un autre. Mais dans certains cas, le mouvement qu’il porte se situe au-delà du simple effet de mode. Il représente une prise de conscience collective. C’était le cas avec #MeToo en 2017, c’est à nouveau le cas avec #BlackLivesMatter, qui avait été créé suite à l’affaire Trayvon Martin en 2013 et qui s’enflamme depuis quelques jours. Deux combats totalement différents mais qui brisent des lois du silence qui se ressemblent, y compris en Suisse.

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