la couverture nuageuse,
le givre,
les précipitations,
la température moyenne journalière,
la fréquence des jours de pluie,
et enfin la durée d’ensoleillement.
Ils ont ensuite calculé un «score d’imprévisibilité» pour chacun de ces critères à partir de l’écart-type — c’est-à-dire la dispersion des données par rapport à la moyenne. A noter que certaines capitales n’ont pu être traitées par manque de données.
Et Berne dans tout ça? La capitale suisse se place à la quatrième place, tous paramètres confondus, pour l’imprévisibilité (64%), derrière Tallinn (69%), Riga (68%) et Helsinki (67%).
C’est dans la catégorie de l’ensoleillement que la capitale brille avec un taux d’imprévisibilité de 85%, en première place exæquo avec Oslo.
Dans les autres catégories, Berne obtient la 8ème place en couverture nuageuse (67% d’imprévisibilité), de même en température moyenne journalière (54%) et 9ᵉ en fréquence des jours de pluie (62%).
Enfin, c’est La Valette, à Malte, qui est la capitale la moins imprévisible avec seulement 10% d’imprévisibilité.