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Faut-il généraliser le 30 km/h pour lutter contre le bruit routier?

A la mi-septembre 2021, la Ville de Lausanne a démarré un projet pilote d'abaissement de la vitesse de 50 km/h a 30 km/h entre 22h00 et 6h00 sur les avenues de Beaulieu et Vinet au centre ville, afin de lutter contre le bruit routier de nuit. | KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Marre d’entendre le grondement du trafic routier? Vous n’êtes pas seuls: en Suisse, le tintamarre motorisé gêne une personne sur quatre. Le 28 avril 2022 marque la Journée internationale de lutte contre le bruit, qui sensibilise aux répercussions des perturbations sonores sur le bien-être et la santé. A cette occasion, l’Association transports et environnement (ATE) Vaud s’est associée au Groupement pour le 30 km/h pour initier une pétition qui prévoit de faciliter la limitation de la vitesse de la circulation à 30 km/h dans les localités. Depuis la mi-septembre 2021, une telle limite a été placée sur certains axes routiers de Lausanne — en tout cas la nuit.

Le bruit, une épidémie? Sommeil perturbé, stress et état d’alerte constant… La circulation routière est la principale source de nuisance sonore en Suisse. Depuis 2014, un consortium d’études interdisciplinaires enquête, dans le cadre de l’étude SiRENE du Fonds national suisse, sur les conséquences à court et à long terme du bruit routier sur la santé de la population. Et cela, tant le jour que la nuit.

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