Réservé aux abonnés

Interdire le plastique en Suisse d’ici 2040, est-ce possible?

Des bénévoles ramassent des déchets plastiques lors de l’action de nettoyage de la Réserve du Fort sur les berges du Léman, à Noville.| KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Un traité international pourrait interdire la pollution plastique d’ici à 2040. Malgré les apparences, la Suisse est leader européen en matière de déchets plastiques. Comment le pays pourra-t-il endiguer ce fléau?

Un traité international contraignant, en cours de négociations, pourrait interdire la pollution plastique d’ici à 2040. Si la Suisse plaide pour un accord ambitieux, elle figure aussi sur le banc des mauvais élèves en termes de consommation de plastique. Si bien que les Suisses produisent plus de déchets plastiques que presque tous leurs voisins. En cas d’interdiction, comment le pays pourrait-il se sevrer de cette addiction d'ici à 2040?

La Suisse et le plastique, un mariage toxique. Quand on pense à la pollution plastique, on pense peut-être à ces îlots de déchets flottants dans l’océan, ou encore aux décharges à ciel ouvert en Inde, mais rarement à la Suisse, considérée comme l’«un des pays les plus propres au monde». Et pourtant, derrière les rues récurées et les alpages bucoliques, se cache une autre réalité…

Cet article est réservé aux abonnés.

Pour lire la suite de cet article et des milliers d'autres, abonnez-vous à partir de CHF 16.- par mois.

Le journalisme de qualité nécessite du temps, de l'investigation et des moyens. Heidi.news est sans publicité. L'avenir de votre média dépend de vous.

Je profite des 30 premiers jours gratuits

Les bonnes raisons de s’abonner à Heidi.news :

  • Un mois d’essai, sans engagement sur votre premier abonnement
  • La newsletter le Point du jour édition abonnés
  • Les archives en illimité
  • Des échanges avec nos journalistes