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La finance se rêve partenaire de la révolution alimentaire

A gauche Patrick Odier, président de Building Bridges et associé principal de la banque Lombard Odier, à droite Ueli Maurer, conseiller fédéral en charge des finances, lors de la session d'ouverture du sommet, le 29 novembre 2021. | Keystone / Salvatore Di Nolfi

Du 29 novembre au 2 décembre, banquiers, ONG, start-ups et représentants des Nations unies se sont réunis à Genève pour parler finance durable. Bien que les défenseurs de l’environnement et le monde de la finance peuvent paraître opposés, l'événement Building Bridges a pour but de montrer que ce cliché n’est pas forcément juste. La finance a son rôle à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique et la conservation des écosystèmes.

Pourquoi on en parle. L’alimentation durable était au centre de nombreuses discussions, avec comme question commune: comment nourrir une population grandissante sans effet négatif sur l'environnement? «20 à 30% des émissions de CO2 viennent de la production et de la transformation des aliments, et un tiers de ceux-ci finissent à la poubelle», ont martelé plusieurs participants. Quelques pistes pour améliorer la situation se dessinent.

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